Partie pour Paris, Manon ne va
jamais y arriver. Sa voiture est découverte dans les environs du village, et
force est de constater qu’elle a disparu, abandonnant tout y compris son
téléphone et son ordinateur portable. L’alerte est donnée et Marc qui a été le
dernier à la voir se retrouve dans la situation peu confortable du proche de la
victime. L’histoire se rejouerait-elle comme avec Clothilde et le Père Pommier ?
Marc va alors se lancer à la recherche de Manon et il va découvrir avec
stupeur, au fil de cette aventure qu’elle lui manque de plus en plus…
Retrouvant ses instincts de limier, ne faisant confiance à personne, il va
partir sur ses traces, à la recherche de tout indice capable de faire avancer
sa réflexion. Cette quête de Manon le conduit tout d’abord à Paris, pour
ensuite le ramener inexorablement vers ce coin secret d’Aveyron et ses
habitants si difficiles à comprendre.
De-ci, de-là, il glane quelques bribes
d’information qui, mises bout à bout, vont lui laisser entrevoir une possible
solution. Il va recevoir de l’aide et des marques d’intérêt auxquelles il ne s’attendait
pas. Après plusieurs rebondissements, alors que le fil tenu de l’espoir de
retrouver Manon vivante est de plus en plus fragile, un coup de théâtre va apporter
un immense espoir…
Au cours de ce deuxième tome, on
a plaisir à accompagner Marc dans ses recherches… Le village et les gens se
livrent peu à peu… mais à doses homéopathiques… Vivement le Tome 3 pour savoir
enfin de quoi il advient dans cette étrange histoire.
Dans la droite ligne du premier
tome, j’ai beaucoup aimé cette suite qui emporte le lecteur dans une quête qui
ne s’arrêtera certainement qu’à la fin du troisième tome... À lire sans retenue…
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